« Vers une eau pure » : 92 % des usagers intéressés par le projet du SEDIF

Dernière mise à jour :  lundi 7 novembre 2022
Visuel verre d'eau du robinet

Dans le cadre de son Observatoire annuel de la qualité, réalisé avec l’institut Médiamétrie, le SEDIF a interrogé les usagers sur l’intérêt de son projet pionnier en France « Vers une eau pure, sans calcaire et sans chlore ». À plus de 90 %, cette innovation suscite un fort intérêt des habitants.

À l’écoute constante de ses 4 millions d’usagers, le SEDIF a mis en place depuis 20 ans un Observatoire de la qualité du service public de l’eau pour mesurer leur niveau de satisfaction et répondre au mieux à leurs attentes. La première vague de l’enquête 2021 réalisée en juillet auprès d’un échantillon représentatif de 1 321 usagers prouve que les attentes autour du projet « Vers une eau pure » sont fortes.

 

Au total, 92 % des sondés sont « intéressés », dont 57 % de « très intéressés ». Dans une deuxième question, l’enquête de Médiamétrie montre que cet intérêt est motivé par trois raisons principales : la volonté d’améliorer le quotidien à son domicile (prolonger la durée de vie des appareils ménagers, assurer un meilleur entretien des canalisations, du linge, etc.), l’envie de consommer une eau de qualité (goût et odeur), et meilleure pour la santé via une élimination des micropolluants mais aussi plus douce pour la peau.

 

[Source : enquête annuelle Médiamétrie pour le SEDIF]

Le SEDIF, pionnier au service des franciliens

« Le SEDIF dotera, à partir de 2024, et de manière progressive, ses usines d’eau potable d’une technologie innovante, l’Osmose Inverse Basse Pression, destinée à filtrer et à éliminer les micropolluants de l’eau ainsi que le calcaire au robinet des 4 millions de Franciliens qu’il alimente. Cette technologie permettra également de réduire fortement le chlore dans l’eau distribuée » a rappelé André Santini, président du SEDIF, dans une récente tribune publiée sur L’Opinion.fr.

 

Grâce à ce projet, le SEDIF agira en pionnier. Son déploiement repose sur une nouvelle vision, dont l’intérêt se mesure, au-delà de la seule facture d’eau, par les économies réalisées et des bénéfices attendus pour les usagers, leur santé et la planète.

 

Contrairement à d’autres innovations technologiques moins ambitieuses, l’Osmose Inverse traitera davantage les micropolluants et les perturbateurs endocriniens, en appliquant sans attendre la nouvelle Directive européenne sur l’eau potable. 

Ce n’est pas un projet de confort comme on peut l’entendre, mais un projet en avance sur son temps et les préoccupations des Franciliens pour leur santé
André Santini, président du SEDIF